Lord of the mysteries
Dès les premières minutes de Lord of the Mysteries, j’ai su que j’allais être accro. L’univers est dingue : un mélange de steampunk, d’horreur à la Lovecraft et d’ambiance victorienne sombre. Ça a ce petit parfum de mystère qui te donne envie de tout décortiquer.
On suit Klein Moretti, enfin Zhou Mingrui, un gars normal de notre époque qui se retrouve propulsé dans un autre monde après un rituel foireux. Et là, au lieu de paniquer, il se glisse dans la peau d’une entité divine, monte le Club du Tarot et part explorer les secrets de ce nouveau monde en devenant un Beyonder. Franchement, le concept est génial.
Visuellement, c’est une claque. Entre les décors gothiques, la Lune de Sang, les potions qui fument… chaque plan est une petite œuvre d’art. L’animation a ce côté à la fois poétique et inquiétant qui te colle à l’écran. C’est beau, mais ça te laisse toujours un petit frisson dans le dos.
Le jour de la sortie, j’ai enchaîné les deux épisodes d’un coup sur Crunchyroll, et depuis j’attends la suite comme un gosse avant Noël. L’univers est dense, parfois t’es perdu, mais c’est justement ce qui rend le truc si captivant. Tu sais jamais où ça va t’emmener.
Pour moi, Lord of the Mysteries c’est pas juste un animé, c’est un voyage dans un monde bizarre, sombre et fascinant. Et si tu commences… prépare-toi à vouloir tout binge.
